VOL KATMANDOU-LUKLA

Sommaire

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Départ de Katmandaou Le pilote à poste La piste d'atterrissage du Lukla Notre avion de retour à Katmandou Le poste de pilotage Au décollage

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Aperçu des cultures en terrasse Une malade à bord et ça fait rigoler tout le monde Atterrissage

Aller :

..Lever 4h30, PDDM 5h, 5h15 Nima et Dadoma sont là pour le chargement des bagages, puis direction aéroport. Notre panique d’hier pour le poids des bagages s’avère complètement inutile car le pesage s’effectue, sacs et matériel groupés. J’ai quelques regrets pour ma cape de pluie et un pantalon supplémentaire.

Puis c’est l’embarquement à 20 dans un bimoteur, nos compagnons de voyage sont des canadiens de Vancouver. Mais il sera dit que les transports en aéroplane ne nous porte pas chance : l’aéroport est fermé pour cause de brouillard. Nous attendons ainsi une heure avant notre envol. 25 minutes de vol, et après un brusque virage au dessus de la vallée de la Dudh Kosi, la piste d’atterrissage de Lukla est en vue, guère plus longue que celle d’un porte avion, sauf qu’en bout en cas de ratage ce n’est pas l’océan mais un mur et la montagne ! Heureusement la piste est en pente et les pilotes manifestement très expérimentés...

Retour :

...A 9h nous sommes à l’altiport, attendant le Yeti. L’attente est longue, heureusement il y a du spectacle pour nous distraire : arrivée d’un hélico, et d’un avion quasi simultanément ; l’avion en manœuvrant heurte l’aile de son voisin en attente de décollage...Discussions, palabres, pour notre plus grand bonheur notre Yeti n’est pas dans le coup.

Notre avion arrive et rapidement nous embarquons avec quelques népalais transfuges de l’avion accidenté.

Nous décollons face à la montagne au-dessus de la vallée de la Dudh Khosi. A peine décollé, j’entends des rires derrière moi, me retournant, je contemple la scène déclenchant l’hilarité générale. Une jeune Sherpani, la tête plongée dans un sac en papier que lui tend François assis à coté d’elle, est agitée de soubresauts ne laissant guère de doutes sur le contenu du sac. François toujours digne, essaie de limiter les dégâts. Durant tout le voyage notre ami François, avec une totale abnégation, évita le pire en maintenant dans ses bras la jeune Sherpani dont c’était le baptême de l’air.

Deux personnes à coté de moi riaient à perdre haleine : la maman et grand maman de la jeune Sherpani. Avec tout cela on ne vit pas le temps passé et quelques trente six minutes après nous atterrissions sur l’aérodrome de Katmandou où nous attendait Nima pour nous conduire à notre hôtel.

 

(Extraits du carnet de voyage)